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Photographie de Hugo Latour

jeudi 3 août 2017

résidence au musée régional de rimouski suite

Aujourd'hui, j'ai beaucoup avancé dans la rédaction de mes poèmes et dans le travail sur ma prise de notes des derniers jours. J'essaie toujours d'écrire beaucoup quand je suis en immersion dans un espace de création. Pas nécessairement pas des poèmes, surtout pas, mais des émotions, des images clés ou des citations de diverses œuvres et personnes rencontrées. Vous pouvez un peu voir tout le fouillis que ça donne dans mon cahier.

Je laisse aussi beaucoup courir mon crayon quand je suis concentré, question de ne pas perdre le fil et de rester centrer dans l'émotion dans laquelle je baigne; et ce même si des gens viennent me voir et me parler (enfin un peu moins de solitude). Un problème avec ces visites cependant: la plupart ne s’intéressent pas vraiment à l'expo qui fait partie intégrante de ma recherche-création et de ce que j'ai préparé pour les visites, me disant que regarder quelqu'un écrire serait plate à regarder,  les conversations tournent cours dans ces cas là .  

Pour le moment, j'ai un titre et 3 poèmes que j'aime bien dans l'état qu'ils sont. Il ne me faut plus que 7 autres poèmes pour compléter le défi que je m'étais donné.

Je commence aussi à penser au fil narratif que je devrai réaliser avec mes poèmes. Si les poèmes me semblent avoir une existence propre en dehors de l'exposition essayer d'y construire un chemin narratif est une tout autre histoire.

C'est le principal problème: je ne dois pas penser à la suite ou à mon recueil en entier tout de suite, mais seulement écrire des bons poèmes qui se feront écho plus tard.
https://anthonylacroixpoete.tumblr.com/post/163776741679

mercredi 2 août 2017

résidence au musée régional de rimouski

Aujourd'hui, durant ma résidence au musée régional de Rimouski, je me suis inspiré de ceque les artistes avaient aussi fait ailleurs que l’exposition La chose en soi sur laquelle je me suis donné le défi d'écrire.

J'ai fait un rapide vidéo d'écran pour vous montrer ce que j'avais toujours devant moi; projetés dans la salle qui met assignée.