Tarmac

La nuit les départs sont les plus tristes

Les parenthèses éclatent

Nous laissant muets

J’aimerais te dire adieu

Sous la tendresse de ta nuque

Comme on dit : Je t’aime

Dans les films  noir et blanc

Au fond de mon sac, il restera

Les méandres de ton regard

En souvenirs

Tu t’opposeras à la pérennité

Et tu auras raison

Les contes ne se vivent qu’une seule fois

Mon avion dans le ciel

Ça sera terminé

Mes poèmes ne survivent pas à l’océan

Inutile de te dire

Que tu es belle

Vu au travers du hublot

Tout le monde le sait

Vu du ciel

Tout est parfait

Aucun transit

Je rentre à la maison

En vol directe

Là où les rêves font l'avenir

Vous savez, je crois que contre tous je vais continuer se blogue pour exposer mes explorations artistiques. Je sais, j'avais dit que je ne le ferais plus jamais, mais bon.... Bientôt les photos de l'aéroport.

Hier, j'ai rencontré deux belges. Unicité de la langue oblige nous avons bu toute la soirée ensemble. J'ai expliqué le mouvement politique et le mouvement étudiant avec je crois beaucoup de clarté et tant mieux que mal des exemples. Une chance l'une d'elle avait étudié le mouvement québécois et le discours des différents porte-paroles dans ses cours. Elles connaissaient bien l'histoire et les symboles forts du mouvement. Et ne comprenaient pas pourquoi on voulait faire passer les manifestants pour des casseurs violents. Ouf... 

changement

Je change d'hotel. Un beaucoup plus propre mais avec une connection moindre. Je pense donc que le seeding sera moins present. On verra

Premier texte

Voici le premier texte d'une série que j'écrirai. Peut-être un recueil de contes qui sait.
Pour le télécharger et le lire dans le confort de votre ordinateur ici

Il est écrit sous la direction de l'atelier Poupée russe présent sur le site http://www.ailleurs-atelier.com/.

Au début du livre, l'auteur utilise un procédé stylistique que j'appelle (improprement) gigogne ou "poupée russe". Jugez plutôt:

" Monsieur Haneda était le supérieur de monsieur Omochi qui était le supérieur de monsieur Saito, qui était le supérieur de mademoiselle Mori, qui était ma supérieure.

Et moi, je n'étais la supérieure de personne. On pourrait dire les choses autrement. J'étais aux ordres de mademoiselle Mori, qui était aux ordres de monsieur Saito, et ainsi de suite, avec cette précision que les ordres pouvaient, en aval, sauter les échelons hiérarchiques. Donc, dans la compagnie Yumimoto j'étais aux ordres de tout le monde."


La page ici 

P.S vous pouvez laisser des commentaires 

Ateliers d'écriture.

Prochainement paraitra quelques textes inspirés des ateliers que l'on peut trouver sur ce site : http://www.ailleurs-atelier.com/

La photographie tout un travail

Je travail vraiment fort sur ma photographie depuis une semaine. Je suis passé en mode entièrement manuel (il était temps) et maintenant je le maitrise avec fluidité. J'ai travaillé beaucoup ma profondeur de champs avec mon 70-300 et je suis maintenant beaucoup plus fier de ma dernière séance.
Je lis de nombreux articles le soir et des reportages pour pratiquer le tout le lendemain. Ce soir, c'était un super article sur l'évaluation de la lumière. Ici. Comme je n'ai pas apporté mon flash, avec lequel je suis nettement plus habitué de travailler, et mon objectif avec une plus grande ouverture, cela me force à utiliser de nouveaux trucs. Donc cette semaine, travail à éclairage difficile pour maitriser l'évaluation par mesure sélective, évaluative et prédominance centrale. Je ne peux pas par spot atteignant la pleine capacité de mon boitier.  À quand un D ? Seul l'avenir me le dira.

Note: je savais travailler avec certains réglages, mais je veux les maitriser sans me décoller le nez du boitier. Je rappel que les photographies présentent n'ont subies aucunes modifications. 

À surveiller, séance portait avec mesure posométrique
Balance des blancs
Profondeur de champs en vitesse.
 
P.s : pour les amateurs de poésie ce ne sera pas long, je débloque. Miron m'aide